10 Questions avec Harry Connick Jr.

Le chanteur et acteur s'ouvre à doctor Magazine sur son nouvel album, son mariage de longue date et ses habitudes de santé.

1. Votre dernier album, That Would Be Me, comprend un mélange de funk, de pop, de country et de ballades. Comment avez-vous trouvé ce son ?

Je n'essayais pas de faire un type de disque particulier. C'est juste le style que ça s'est trouvé être. C'était amusant parce que c'était en quelque sorte imprévisible.

2. Le premier single, "(I Do) Like We Do", parle de l'amour entre des personnes qui sont ensemble depuis longtemps. À quoi attribuez-vous le succès de vos 21 ans de mariage ?

Je pense que c'est la façon dont j'ai été élevé et la façon dont Jill [Goodacre] a été élevée. Nous partageons les mêmes types de valeurs, et nous nous équilibrons mutuellement. Et même plus que ça, nous prenons le mariage très au sérieux. Je ne veux pas me marier plus d'une fois. Je sais que c'est parfois le cas. Les gens meurent ou s'éloignent. Mais le but ultime est de mettre cette bague et de la garder.

3. En quoi le fait d'être père vous a-t-il changé ?

Je ne peux pas imaginer ce que serait ma vie ou qui je serais si je n'avais pas nos filles. Ce sont trois jeunes femmes étonnantes qui sont devenues ces femmes passionnées et motivées.

4. Quel effet cela fait-il de travailler sur la dernière saison de la célèbre compétition de chant American Idol ?

Nous avons vu de grands talents cette année. Je suis très enthousiaste à l'idée d'y participer. Le but ultime est de découvrir la prochaine superstar de la pop.

5. Pourquoi a-t-il été important pour vous d'insister sur les bases de la musique pendant vos critiques ?

Il y a eu beaucoup de chanteurs pop qui ne connaissent rien à la musique. Vous pouvez allumer la radio et entendre cela. Mais je me sens la responsabilité de leur faire savoir qu'ils ne peuvent s'améliorer et penser à des choses auxquelles ils n'ont jamais pensé que s'ils ont un semblant de base de connaissances.

6. En grandissant à la Nouvelle-Orléans, quel genre de nourriture mangeais-tu ?

Nous mangions tout et n'importe quoi qui était mis devant nous. Mon père faisait du gumbo. On prenait un petit-déjeuner normal : des œufs, du bacon et du gruau. Un repas propre était des écrevisses bouillies. Un repas pas si propre serait de la touffe d'écrevisses. C'est presque comme la nourriture en France. C'est fait à partir de bons ingrédients, mais ce n'est peut-être pas ce qu'il y a de mieux pour vous.

7. Comment mangez-vous ces jours-ci ?

J'ai tout essayé, du régime macrobiotique au régime Atkins. J'ai essayé le végétalisme et le végétarisme. Mais en ce moment, je mange propre. Je trouve que de toutes les choses que j'ai faites, c'est ce qui me fait me sentir le mieux.

8. Quel est votre plus gros défaut alimentaire ?

J'aime les mauvais glucides... des choses horribles, comme les bonbons et les Slurpees. Donc je n'y vais pas du tout.

9. Quelle maladie a le plus affecté votre famille ?

Il y a eu beaucoup de cancers dans ma famille. Ma mère est morte d'un cancer des ovaires. C'est une sacrée motivation. Quand on perd des gens dont on est si proche, on se dit : "S'il y a des variables que je peux changer, qu'est-ce que je changerais ?" Le régime alimentaire est le premier et le plus important. J'essaie de manger des aliments qui seront médicinaux.

10. Lorsqu'il s'agit de votre santé, qui dans votre vie vous a le plus inspiré ?

Mes enfants, parce que je veux être là pour eux. Mon père a 89 ans et il est en excellente santé, et le père de Jill a 79 ans. Les avoir dans nos vies est absolument la plus grande chose, et je veux que mes enfants aient ça.

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